Actualité d'Archimuse

À la fin du XIXe siècle, les édifices réalisés à l’aide des innovations technologiques (métal, béton, etc.) fleurissent dans plusieurs métropoles. À la fin du XIXe siècle, les édifices réalisés à l’aide des innovations technologiques (métal, béton, etc.) fleurissent dans plusieurs métropoles. Pourquoi Chicago peut-elle être considérée comme le berceau de l’architecture moderne? Quels facteurs expliquent la floraison inouïe d’édifices de conception novatrice, et la concentration sans équivalent de jeunes ingénieurs et architectes, précisément à Chicago dans le derniers tiers du siècle? En outre, à quoi correspond exactement l’expression « école de Chicago »? Autant de questions auxquelles cette présentation donne réponses, explications claires et illustrations pertinentes.

La peinture de Vincent van Gogh est trop souvent abordée d’emblée par le prisme de sa maladie mentale et de son suicide, à travers lesquels est revisité son œuvre au complet. Nous écarterons cette approche, pour privilégier sa quête. Une quête qui passe d’abord par une formation artistique méthodique, avant son installation à Paris. C’est à Paris, capitale de l’avant-garde, qu’il décide d’achever son éducation au contact des artistes modernes. Là pendant deux années d’une fertilité incroyable (1886-1888), son malaise existentiel est presque mis à l’écart devant la richesse artistique et les rencontres qui l’abreuvent : au contact des impressionnistes et de l’avant-garde parisienne, il diversifie ses motifs, éclaircit sa palette et modifie sa touche; plus encore, sa vision des choses est totalement transformée par l’observation et la compréhension approfondie de l’estampe japonaise, qu’il se met à collectionner avec passion. Mais c’est son séjour en Provence qui lui permettra d’assouvir sa recherche de nouveaux moyens expressifs, basés sur le pouvoir de la couleur.

Cet itinéraire axé sur la rue St-Jacques vous permettra de découvrir quelques-uns des plus beaux spécimens architecturaux de Montréal : c’est là en effet que les grandes institutions financières canadiennes, alors jeunes, ont établi leurs sièges nationaux ou régionaux, rivalisant de monumentalité ou d’ostentation pour attirer la clientèle. À une exception, tous ces édifices ont perdu aujourd’hui leur vocation bancaire, et ne sont pas toujours reconnaissables pour le non-initié. Plusieurs ont eu une histoire mouvementée, des agrandissements – autant d’épisodes lisibles dans la pierre et sur lesquels nous nous arrêterons grâce à cet équivalent d’une visite commentée (les aléas météorologiques en moins) que vous pourrez par la suite faire par vous-même à votre rythme, au moment de votre choix, et avec tous les outils nécessaires (la liste des édifices commentés avec repérage précis vous sera fournie, en plus des diapositives)

Bien que le centre-ville ait depuis longtemps grignoté les pentes de la montagne sur lesquelles s’était établie la riche bourgeoisie anglophone de Montréal, il reste un certain nombre de ses riches demeures, exemples spectaculaires du souci d’ostentation de leurs propriétaires. Malgré leur état parfois dégradé faute d’entretien suffisant, les amateurs d’architecture et de patrimoine ne peuvent que savourer leurs volumétries complexes et leurs décors souvent exubérants. Je vous propose ici une rencontre de deux heures pour un itinéraire en images, d’une ancienne résidence à l’autre, aujourd’hui largement léguées à l’université McGill. L’équivalent d’une visite guidée – les aléas météorologiques en moins – que vous pourrez par la suite faire par vous-même à votre rythme, au moment de votre choix, et avec tous les outils nécessaires (la liste des édifices commentés avec repérage précis vous sera fournie, en plus des diapositives).

La couverture médiatique de la récente réouverture du 9e de chez Eaton ne doit pas faire illusion : l’architecture Art déco montréalaise reste peu connue du grand public, son caractère moderne contribuant en grande partie au peu de sentiment d’appropriation qu’elle suscite. Je vous propose une rencontre de deux heures pour un itinéraire en images, d’édifices choisis afin de vous familiariser visuellement avec les variations de ce style. L’équivalent d’une visite commentée – les aléas météorologiques en moins – que vous pourrez par la suite faire par vous-même à votre rythme, au moment de votre choix, et avec tous les outils nécessaires (la liste des édifices commentés avec repérage précis vous sera fournie, en plus des diapositives).